FÉERIES PORTATIVES : Vos notes de lectures, chroniques ...
La Cachotterie
( édition entre parenthèses )
ce blog recueille vos notes de lectures, chroniques, avis,
critiques, morceaux choisis
à propos de
féeries portatives
le 6e roman de
frédéric Clément
Nous vous invitons à déposer en commentaires vos retours de lecture, chroniques, avis, critiques ... et nous les inscrirons ici-même, sous cette image...
à vos plumes, à vos mots,
en toute féerie, merci ...
...
- Voilà, peu à peu, nous rassemblons vos quelques "échos", chroniques, retours de lecture sur FÉERIES PORTATIVES que nous déposerons sur le CERCLE des ENTHOUSIASTES - FÉERIES et sur le blog dédié http://feeriesportatives.blogspirit.com/
Hier soir est arrivée la rêverie de Sylvie Piquera :
- Comme convenu, je vous envoie mes textes écrits lors de votre partie de Cache-cache en écriture avec les extraits de Féeries Portatives. Je suis en train de les découvrir et je dois dire que votre écriture agit comme un révélateur sur mon imaginaire, Votre roman est un appel à l'écriture. Une épaisseur miroitant de sens, comme vos images. Jugez plutôt.
"Cache-cache archéologique C'est folie que tout cela ! Moi qui était arrivé au début de juin, pour faire des croquis, aquarelles et pochade des silencieuses ruines de cette ville sans nom. Je bus mon thé à la menthe et sortis par les rues intactes ou je distinguais des ornières, faites par les roues des chars. Dans les maisons, les baignoires sabots se remplissaient de parfums de fleurs d'orangers. Lorsque je vis Mounir qui venait vers moi d'un pas assuré.
"Tu viens faire des croquis, on va ouvrir la tombe de la Princesse Kerkouane ? "
Je vacillai en le regardant et lui dis : "Je te suis." J'avais bien fait de prendre du pourpre dans mes pigments et une torche frontale. L'escalier mis à jour me rappelait une vision d'enfance. Effet de fée ou naturel coulis d’air ?
La poussière d'un siècle et de deux tremblements de terre a volé en poudroiement doré et retombe, là ... A mes pieds, posés sur la cinquième marche du tombeau qui venait d'être ouvert. Je saisis mon pinceau fébrile et ramasse cette étrange poussière d'or. Je la dépose sur mon dessin du cercueil anthropomorphe de la princesse, miraculeusement conservé. Pendant que je suçote une des grosses chenilles vertes et jaunes gorgées du suc de mon micocoulier, je me dois d'éclairer ce récit par ceci : Je dessinais le sarcophage de cette femme dans ce souterrain sombre depuis déjà deux heures.
Les discussions animées des ouvriers se mêlaient aux bruits des pioches et aux cristaux de ma mémoire. Quand, sur la deuxième marche de l'escalier, je distinguais une forme étrange, comme une tête de vache. J'eus une vision, une hallucination. L'Aleph ... Le début et la fin ... C'était comme si je tombais dans un escalier sans fin. Je ne savais plus où j'étais, je bus quelques gorgées de thé que j'avais dans ma gourde. Je m'essuyais le front avec ma chemise. Alors, je dessinais fébrilement sur mon carnet ce motif découvert parterre. Comme j'avais chaud et que je transpirais abondamment, je décidais de me lever, je remballais mes crayons, mes pinceaux et mes pigments, quand j'ai perdu connaissance...
Je suis réveillée, parait-il quelques minutes plus tard, à l'ombre du micocoulier, un linge frais sur la tête. Mounir et les ouvriers m'avaient portée à l'extérieur du tombeau. Ils me regardaient inquiets. Je souris. Dalila m'avait apporté de l'eau et ces grosses chenilles vertes et jaunes gorgées du suc de mon micocoulier. C'était comme du miel qui coulait dans ma gorge et me ramenait doucement à la vie. Enfin, sur la droite, plus large, vient une colonne copieuse. Sans pouvoir les appeler des phrases, viennent des suites de mots en français. Après cette prise en main du maroquin, je peux en lire le préambule : Déambule Carthage Venue Byblos Reine voyage Feu féroce Hiarbas."
Sylvie Piquera - 31 août 2021
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Retour de lecture de Frédérique Pinzan, bibliothécaire à Aubervilliers :
"Féeries dévorées ! Quel magnifique voyage de mots, d'images et de sons ensorcelants ! Complètement charmée par cette érudition raffinée et cet imaginaire d'une intense poésie.
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Retour en forme de chronique de Bérengère Desmettre,
écrivaine, journaliste, photographe et illustratrice
"Cher Frédéric, en ce moment, je déguste (si je puis dire... car il y a beaucoup de poussières d'or et de cendres de peste dans votre ouvrage) votre livre chaque soir au fond de mon lit, avant de m'endormir. "fééries portatives" parfait livre pour nuits de rêves troubles et poétiques... Merveille que ce nouvel ouvrage! Tout est BEAU (sauf les QR code auxquels je reste totalement réfractaire) : les images précieuses, évidemment, que je connaissais depuis si longtemps et qui, enfin, prennent tout leur sens, et quel sens! Magnifique... L'écriture, la vôtre devenue un paroxysme baroque et le fond, le coeur de ce roman, son objet, qui porte tellement justement son titre! Oui tout est beau, ciselé, parfait : l'intrigue, l'histoire, l'enchevêtrement, la superposition, les boites dans les boites dans les boites dans les boites, les histoires dans l'histoire et encore dans l'histoire... Rien n'est gratuit, tout est juste et beau. Impressionnant de délicatesse et de densité... Merci! Une sorte de conte à effet de poupées russes en pleine Méditerranée... Une séduction faite livre... Et qui fonctionne...qui me séduit un peu plus chaque soir... Vous avez décidément l'art du conteur en vous..."
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Retour de lecture de Carine Do (via Facebook)
Certes un peu tardive, voici ma très petite note de lecture : je me suis promenée dans vos Fééries de façon un peu particulière. A voix haute. En en donnant lecture par Skype à une personne infiniment chère. Je pourrais vous témoigner toute mon admiration, combien j'ai aimé le conte, combien est belle votre écriture. Et ce serait bien la moindre des choses. Mais je voulais vous dire, surtout, le voyage que ce fut dans la sonorité des phrases. Les notes découvertes au fur et à mesure. La mélodie qui se construisait. Faite de ce cabinet de curiosité de mots choisis et précieux. Parfois je butais sur un terme inconnu et c'était comme un met tout aussi exotique que l'histoire qu'il racontait. Peu importe sa signification que je n'allais pas chercher, le laissant simplement.
J'ai passé ainsi plusieurs soirées. Recevant votre musique et essayant de l'offrir au mieux à mon tour. Ce furent des instants rares et poétiques. Pour cela, plus que merci cher FrédériC.
Vivement votre prochain tour de magie…
J'ai passé ainsi plusieurs soirées. Recevant votre musique et essayant de l'offrir au mieux à mon tour. Ce furent des instants rares et poétiques. Pour cela, plus que merci cher FrédériC.
Vivement votre prochain tour de magie…
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Retour de lecture de Hélène Dupont,
ex éditrice, infirmière en Islande
Bonjour, elles sont arrivées, les Féeries portatives et pour les magnifier je les ai photographiées avec de la toute nouvelle lave de Geldingadalur, le volcan en éruption en Islande... Merci pour ce bel envoi et surtout vos images... je n'ai pas encore fini le roman, à peine grignoté les premières pages.
Oh joie ! Ils sont arrivés ce matin
De toute beauté !
Mille mercis pour ce pur bonheur, Monsieur l'émerveilleur.
Oh joie ! Ils sont arrivés ce matin
De toute beauté !
Mille mercis pour ce pur bonheur, Monsieur l'émerveilleur.
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Retour de lecture de Elman Pearl
Lectrice via Facebook et Instagram
Monsieur le ré-enchanteur, je vais tenter par ces mots de m'appliquer à rendre au plus près ce que la lecture de votre roman a provoqué en moi - et vous témoigner mon immense gratitude. Car cet ouvrage, aussi rare qu'un parfum de fée, par sa forme, son ton, sa singularité m'a fait vivre une expérience unique, jubilatoire, intemporelle. Comme il ne m'a pas été permis d'en vivre depuis longtemps, ah si, peut-être si, depuis Magasin Zinzin. Autre refuge. Avec ce sentiment de vivre une aventure secrète, un privilège !
Merci infiniment monsieur Clément pour ce merveilleux voyage.
Merci infiniment monsieur Clément pour ce merveilleux voyage.
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Retour de lecture, chronique de Sylvie S.
Sur Facebbook sous le nom de Forêt de Siloa
Maître de l'abyme vous êtes...
Comme avec Muséum Rhapsodie, on entre dans la trame de votre tapis de mots tissés, irrésistiblement attiré dans cette fascinante "spirale de Möbius" (!) - pas tout à fait spirale mais pas seulement ruban de Möbius - ce fil de langages, de croisées, de rencontres muettes et intenses, de miroirs passerelles, d'"inquiétante étrangeté"... J'ai ri de légèreté avec Otlu Bagha, souri de ravissement avec Siméon Silure, eu le cœur serré de beauté avec les deux amants de plumes et d'or, avec Ninni Kulesi. Avec Ascalabote aussi... De même que Muséum Rhapsodie, ce livre appelle à revenir. Relire...puis relire... Puis... Découvrir à chaque fois quelque chose qui s'était discrètement tenu entre les pages, entre les mots, dans un recoin d'abyme... J'y retournerai donc.
Comme avec Muséum Rhapsodie, on entre dans la trame de votre tapis de mots tissés, irrésistiblement attiré dans cette fascinante "spirale de Möbius" (!) - pas tout à fait spirale mais pas seulement ruban de Möbius - ce fil de langages, de croisées, de rencontres muettes et intenses, de miroirs passerelles, d'"inquiétante étrangeté"... J'ai ri de légèreté avec Otlu Bagha, souri de ravissement avec Siméon Silure, eu le cœur serré de beauté avec les deux amants de plumes et d'or, avec Ninni Kulesi. Avec Ascalabote aussi... De même que Muséum Rhapsodie, ce livre appelle à revenir. Relire...puis relire... Puis... Découvrir à chaque fois quelque chose qui s'était discrètement tenu entre les pages, entre les mots, dans un recoin d'abyme... J'y retournerai donc.
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Chronique de Brigitte et Patrick Béguin
Bibliothécaire et professeur de lettres
Singulière rencontre que celle de Cimbalaire des Murailles !
En 1778, le héros du 6ème roman de frédéric CLÉMENT, chroniqueur pour gazettes et almanachs, est miraculeusement sauvé du tremblement de terre qui secoue Smyrne grâce à … une malle, la malle d'Antoine Galland, le célèbre orientaliste premier traducteur des Mille et Une nuits, engloutie en juillet 1688 lors d'un précédent séisme. le bagage perdu contient d'étranges révélations que ce bel esprit des Lumières, aussi tenace et résistant que la plante dont il a emprunté le nom, n'aura de cesse de déchiffrer pendant le confinement sur son bateau imposé par la peste qui ravage Constantinople, se laissant peu à peu emporter dans le monde féerique et cruel des récits de Schéhérazade.
le plaisir de l'abyme : Cimbalaire découvre la lettre adressée par Galland à une ancienne élève pour lui raconter quelle envoûtante rencontre il a faite dans le Palais Englouti, et, sous le contrôle d'un mystérieux compagnon, vont alors se succéder six narrateurs inattendus qui vont inexorablement l'attirer sur les pas d'Antoine Galland. Un parcours baroque dans le monde ottoman de la belle et dangereuse Constantinople du XVIIème siècle où les héros sont confrontés à la puissance implacable du sultan, de son grand vizir et de leurs janissaires. Comprendre et survivre au pays de la Magie …
Une lecture haletante, orchestrée par les imprécations, les élans lyriques, les ruptures et les pauses, au rythme de la quête de Cimbalaire.
Un art très consommé du mot pour ne jamais oublier que la sonorité précède la syntaxe. L'écriture résonne des mille effets appréciés par l'oreille qui se laisse envahir par la magie du conteur. Le mot patiemment cueilli et mis en valeur, pour qu'il sonne toujours juste.
Un livre savant et précieux, nourri à la sève des Textes Premiers, à lire avec gourmandise et à dire avec grande précision.
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Retour de lecture de Michel Piquemal,
auteur et directeur de collections
je viens de terminer ton roman que j'ai fort apprécié pour son étrangeté, ce style empreint de merveilleux (mais aussi d'humour et d'érudition) qui n'appartient qu'à toi....
Deux lignes du livre et on sait aussitôt que ce sont deux lignes de Frédéric Clément... et n'est-ce pas cela être écrivain ?
Avoir un style que n'a personne d'autre.
En belle amitié, merci pour ces moments passés dans ta bulle-monde.
Deux lignes du livre et on sait aussitôt que ce sont deux lignes de Frédéric Clément... et n'est-ce pas cela être écrivain ?
Avoir un style que n'a personne d'autre.
En belle amitié, merci pour ces moments passés dans ta bulle-monde.
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Retour de lecture, chronique de Christelle Jany
enseignante et fidèle lectrice
" J'ai fini de lire "Fééries portatives"... Ce qui m'a le plus plu, en plus de votre écriture, c'est l'idée... : une "réécriture" du conte "Les fées" en version portative. Et cette idée qu'une combinaison d'objets devient histoire... C'est vraiment, avec en plus le thème des contes des Mille et une nuits et l'opposition saisissante entre l'horreur du contexte et le merveilleux des histoires, c'est vraiment, des fééries portatives. J'apprécie énormément cela, cette cohérence, ce lien, ce fil entre les mots, les objets, l'histoire. Tout est féeries portatives dans ce roman, et c'est cela que j'ai aimé, le "développement", l'histoire, les péripéties du titre, très beau en lui-même. J'aurais une question, est-ce que les histoires racontées par chaque écrin d'objets sont inspirées de "vraies" histoires des Mille et une nuits ? Car je ne connais pas assez les histoires des Mille et une nuits pour reconnaître d'éventuelles références... J'ai beaucoup apprécié lire celle concernant le parfum des fées, ça m'a rappelé ma lecture du "Parfum" de Suskind, en plus avec l'opposition des odeurs horribles du contexte réel. Merci pour tout ..."
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Retour de lecture de Caroline Simonis
fidèle visiteuse de La Cachotterie galerie
De Cachan à Cachan. De la Cachotterie aux cachotteries. Déjà la moitié du livre englouti avec délectation. J'attends avec impatience la nuit tombée pour une nouvelle plongée féerique au cœur de la Sublime Porte !
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Annie Krim
Un grand plaisir ! Le dernier livre, un roman, de Frédéric Clément vient d’arriver de la Cachotterie ! Son titre : « FEERIES PORTATIVES »… Il va rejoindre sa famille dans ma bibliothèque. I’m happy ! Allez sur le site de la Cachotterie et vous saurez tout, mais chut… seulement pour les curieux des petits riens, des vieilles choses égratignées, des petites roses séchées, des odeurs d’Orient, des secrets et des voyages. Merci Monsieur Clément.
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Caro Benett
Instagram, Facebook
Féeries Portatives arrivées la veille de mon déménagement, pour enchanter mes nouvelles aventures à la découverte des merveilles de ce monde...
Féeries Portatives dans mes bagages, pour me souvenir qu'en chaque création réside la magie de la vie...
Un immense merci pour vos rêveries partagées...
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Anne Rose
Grande joie aujourd'hui d'avoir reçu des Fééries, qui viennent rejoindre mes clémentes merveilles Ne manque sur la photo, que le Galant de Paris, que je lis actuellement. Merci infiniment cher Frédéric pour toutes ces belles choses qui me font rêver, les mots, les illustrations... Et merci infiniment aussi à Brigitte et à son mari, pour tout le travail accompli
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Retour de lecture - Chronique de Frédérique Lr
Facebook
Loukoum à la rose. Un voile de poudre sur une chose étrange. Une gourmandise de mots qu'on voudrait retenir après les avoir goûtés, que dis-je, savourés, sortis de mille petites boîtes décorées dans un palais des mille et une nuits. Un truc qui donne soif, soif de lire encore. On en tire la langue malicieusement espérant le craquement de la pistache cachée dedans.
Au bout du compte, le conte y est. On est transporté dans cet ailleurs mouvant, émouvant, jubilant de turqueries comiques, savantes, envoûtantes. Et formidablement littéraires.
Fr.C photographie l'imaginaire avec sa plume, poudre la chose d'une érudition où la passion transpire sous le soleil d'Istanbul. Une fée s'est sans doute penchée sur ce touche à tout facétieux et bourré de talents si nombreux.
Bon fini pour la mise en boîte ! Y'a pas photo.
Bravo.
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Elena Ventura
Fondatrice et animatrice de Grains de Lire et Nomades du Livre
Dans la brise des envols de féeries. Papillons en écrins. Mystères en chemin...
Immenses mercis Frédéric Clément et Brigitte Chenot Béguin pour le tout aussi immense travail... portes ouvertes sur nos immenses plaisirs des yeux et du cœur
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Christine Hauray
Ils sont là. Merveilles.
J'ai choisi mon écrin. Ce sera le 3, le crapaud et la puce rousse. Délicieux inventaire.
Merci Frédéric de nous avoir embarqué dans cette aventure.. merci à vos amis de vous avoir accompagné.
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Claire Pérodeau
Un colis 6 mots : une douce attente,
une beauté, une merveille, une délicatesse, un effet un brin branché, quelques tours d’aiguilles hors du temps, merci M. Frédéric Clément
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Mireille Merten
Les Féeries ont navigué jusqu'en Bretagne et ont trouvé leur port d'attache ...
Merci beaucoup à Frédéric Clément, à Brigitte Chenot Béguin et à toute l'équipe !
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Isabelle Chaval
bibliothécaire
Mille remerciements à vous, Frédéric Clément Brigitte Chenot Béguinle facteur est bien passé, il repasse chaque année, et repassera encore j'espère ... je vais me plonger dans votre bain de fééries pour mon plus grand plaisir très amicalement. Isabelle.
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Sylvie Piquera
Bibliothécaire
J’ai ouvert ces Fééries Portatives comme on découvre une malle oubliée venue des siècles passés. J’ai entrebâillé ce cabinet de curiosités. J’ai voyagé très loin. J’y retournai dès que possible Un inventaire de mots, d’objets, d’animaux, de parfums, de sensations enivrantes et hypnotiques. Surprises, étonnements et rires. Alchimie et sortilèges d’un dépaysement total. Sylvie Piquera
à suivre ...
très bientôt d'autres retours et chroniques...
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